Comme les rois mages (mais sans les couettes de Sheila)
Mes collègues qui ont la cinquantaine se prénomment Alain, Hervé ou Jean-quelque-chose (le plus souvent Michel ou Claude). Parmi les trentenaires il y a de nombreux Laurent, Olivier et une ribambelle de Stéphane. Dans les années 90, la mode était plutôt aux Kevin et autres Jason. Maintenant il parait que les prénoms masculins ayant la cote seraient en "O" : Théo, Mattéo, Enzo...
Hé bien, j’ai la preuve que c’est faux!
Pas plus tard que ce midi, alors que je dégustais un sandwich jambon/crudités/mayo assise sur la pelouse ombragée du parc qui se situe en face du boulot, j’ai assisté, amusée, au pique-nique d’un petit groupe composé de deux jeunes mamans et de leur charmante progéniture : deux fillettes et quatre garçonnets, le plus âgé ne devant pas avoir plus de quatre ans et le petit dernier étant encore en landau. Comme le niveau sonore de l’ensemble était assez élevé j’ai pu apprendre que les trois plus grands garçons s’appelaient (prenez des notes si vous êtes enceinte et que vous manquez d’imagination!) :
- Balthazar,
- Célestin,
- Hyppolite (qui peut d’ailleurs aussi s’orthographier Hippolyte… je vois d’ici la maîtresse qui va lui apprendre à écrire en train de s’arracher les cheveux de désespoir ^^).
J’ai failli demander ce qui avait été choisi pour le bébé entre Firmin, Blaise et Ignace.
Les parents pourraient quand même réfléchir. Faire plaisir à l’arrière grand-tante en donnant le prénom d’un de ses parents morts depuis un siècle, ce n’est peut-être pas plus judicieux que de jouer aux fléchettes sur un calendrier et de tomber sur "Fêt-Nat" ou "Imprimerie Nationale".
Pov’ gosses, des prénoms pareils, c’est un coup à passer sa vie en psychanalyse… à moins d’être abandonné trop longtemps sur une banquette arrière de voiture en plein soleil avant d’avoir atteint l’âge adulte ^^.
Hé bien, j’ai la preuve que c’est faux!
Pas plus tard que ce midi, alors que je dégustais un sandwich jambon/crudités/mayo assise sur la pelouse ombragée du parc qui se situe en face du boulot, j’ai assisté, amusée, au pique-nique d’un petit groupe composé de deux jeunes mamans et de leur charmante progéniture : deux fillettes et quatre garçonnets, le plus âgé ne devant pas avoir plus de quatre ans et le petit dernier étant encore en landau. Comme le niveau sonore de l’ensemble était assez élevé j’ai pu apprendre que les trois plus grands garçons s’appelaient (prenez des notes si vous êtes enceinte et que vous manquez d’imagination!) :
- Balthazar,
- Célestin,
- Hyppolite (qui peut d’ailleurs aussi s’orthographier Hippolyte… je vois d’ici la maîtresse qui va lui apprendre à écrire en train de s’arracher les cheveux de désespoir ^^).
J’ai failli demander ce qui avait été choisi pour le bébé entre Firmin, Blaise et Ignace.
Les parents pourraient quand même réfléchir. Faire plaisir à l’arrière grand-tante en donnant le prénom d’un de ses parents morts depuis un siècle, ce n’est peut-être pas plus judicieux que de jouer aux fléchettes sur un calendrier et de tomber sur "Fêt-Nat" ou "Imprimerie Nationale".
Pov’ gosses, des prénoms pareils, c’est un coup à passer sa vie en psychanalyse… à moins d’être abandonné trop longtemps sur une banquette arrière de voiture en plein soleil avant d’avoir atteint l’âge adulte ^^.
Ecrit par Kch, le Mercredi 23 Juillet 2008, 22:08 dans la rubrique "Blabla principal".
Commentaires :
Ils vivent peut-être mal leurs prénoms mais ils se rattrapent!