Journal de bord - samedi 17 mai 2008
8h15 : premier hôtel où je n’entends pas mes voisins rentrer à pas d’heure. J’ai donc fait une nuit complète et récupéré de ma fatigue d’hier.
9h : décidemment, les pâtisseries c’est pas le top dans ce pays. Il vaut mieux se limiter aux toasts beurre/confiture pour accompagner le café.
9h30 : il est temps de partir à la découverte de la ville et des alentours. Il fait beau et la température ne va pas tarder à grimper. Autant faire la route panoramique ce matin. Il y a pas mal de véhicules mais le trottoir est suffisamment large pour se balader tranquillement à pied et puis l’allure des autos, pour une fois, est plutôt modérée. Forcement, les touristes ont le nez à la fenêtre pour admirer la vue. [note : je mettrais bien des photos pour illustrer mais cet idiot de PC portable refuse de lire ma carte, il faudrait donc que je les ajoute une fois rentrée à Paris]. Une fois la boucle bouclée, je pars me perdre dans la vieille ville. Jeudi, c’est la fête religieuse de Corpus Christi. Il y a des décorations fleuries un peu partout. Bien que la plupart soient en plastique, cela rend plutôt bien ^__^
13h30 : retour à l’hôtel pour manger un peu. Histoire de passer le temps, je mets la TV. Il y a de la moto, c’est le Grand Prix de France, au Mans. Je croyais que Jorge Lorenzo était blessé (il était en fauteuil roulant il y a 2 jours) mais apparemment ça ne l’empêche pas de piloter.
14h50 : argh... 1/2 finale du tournoi de Hambourg, je ne peux pas partir me promener alors que le duel Nadal/Djokovic va débuter! Le serbe est en grande forme et attaque dès la deuxième balle. Il prend rapidement l’avantage mais, alors qu’il pouvait mener avait la possibilité de mener 4-1, Rafa se reprend et remonte au score.
16h15 : après plus d’une heure de jeu, il s’empare du premier set, 7-5. Malgré l’intérêt de la partie (et son enjeu car Djokovic, en cas de victoire, deviendra n°2 mondial!), il est temps que je sorte. Je verrai le résultat au JT du soir.
16h30 : il commence à pleuvoir alors que je me trouve dans les petites ruelles qui conduisent à la cathédrale. Bien que mon guide affirme que c’est la 2e en taille après Séville, elle est beaucoup moins impressionnante que je ne le pensais. C’est peut-être parce que les vaisseaux latéraux sont plus bas de plafond que la nef centrale. Par contre, le Coro est somptueux et surtout ouvert au public (photos interdites, même sans flash, par contre). On peut donc admirer de près les 54 stalles en bois de noyer, chacune sculptée d’une scène de bataille différente. Les accoudoirs sont en forme d’animaux et aucun n’est semblable à son voisin. Même le dessous des sièges (certains sont relevés) est décoré de personnages. La partie supérieure est composée de bas-reliefs d’albâtre et de colonnes de marbre. Le contraste de couleur est saisissant mais très harmonieux.
17h15 : c’est la première fois que je peux visiter un cloitre en Espagne ; d’habitude, ils sont fermés au public. Je constate que le soleil est revenu. Je vais pouvoir reprendre mes pérégrinations dans le dédale des ruelles du vieux Tolède.
18h30 : il repleut et je n’ai pas de parapluie. Le musée de la culture wisigothique est gratuit le samedi après-midi. C’est le bon endroit pour s’abriter.
19h : je ne suis pas très portée sur les bijoux mais les objets damasquinés qui sont la spécialité artisanale de Tolède me plaisent beaucoup. Le plus difficile est de choisir car en regardant de près, on s’aperçoit que chaque modèle est unique!
19h40 : je commence à avoir faim mais je tombe sur un groupe de danse folklorique… puis sur un second. Dans la foule des badauds, j’entends un monsieur expliquer qu’il y a un spectacle un peu plus tard devant la mairie. Ce serait dommage de le rater. Mais il fait frais dans les ruelles encore humides des averses de l’après-midi et le vent qui est maintenant en train de dégager le ciel n’arrange rien. Il est donc impératif de repasser par l’hôtel pour mettre un pull et aussi me munir d’un parapluie (mon optimisme météorologique de tout à l’heure a été douché... au sens propre!).
20h30 : finalement, je vais prendre le temps de grignoter quelque chose avant de repartir. Avec un peu de chance je saurai si Rafa est en finale demain ;-p
21h05 : pas de nouvelles du tennis dans les titres de l’actualité.
21H15 : devant la mairie avec un pull et une écharpe. J’ai raté le groupe de danse tolédan mais il y en a 3 autres à suivre. Il est intéressant de noter les légères différences entre les régions : à Murcia, on agite les poignets pour jouer des castagnettes, alors qu’à Valencia, non. Mais toujours, on danse en couple... sans se toucher sauf de temps en temps du bout des doigts pour une sorte de farandole. Les pas et le rythme me rappellent la Provence. Mais la musique et le chant sont, eux, typiquement espagnols. Chouette soirée!
9h : décidemment, les pâtisseries c’est pas le top dans ce pays. Il vaut mieux se limiter aux toasts beurre/confiture pour accompagner le café.
9h30 : il est temps de partir à la découverte de la ville et des alentours. Il fait beau et la température ne va pas tarder à grimper. Autant faire la route panoramique ce matin. Il y a pas mal de véhicules mais le trottoir est suffisamment large pour se balader tranquillement à pied et puis l’allure des autos, pour une fois, est plutôt modérée. Forcement, les touristes ont le nez à la fenêtre pour admirer la vue. [note : je mettrais bien des photos pour illustrer mais cet idiot de PC portable refuse de lire ma carte, il faudrait donc que je les ajoute une fois rentrée à Paris]. Une fois la boucle bouclée, je pars me perdre dans la vieille ville. Jeudi, c’est la fête religieuse de Corpus Christi. Il y a des décorations fleuries un peu partout. Bien que la plupart soient en plastique, cela rend plutôt bien ^__^
13h30 : retour à l’hôtel pour manger un peu. Histoire de passer le temps, je mets la TV. Il y a de la moto, c’est le Grand Prix de France, au Mans. Je croyais que Jorge Lorenzo était blessé (il était en fauteuil roulant il y a 2 jours) mais apparemment ça ne l’empêche pas de piloter.
14h50 : argh... 1/2 finale du tournoi de Hambourg, je ne peux pas partir me promener alors que le duel Nadal/Djokovic va débuter! Le serbe est en grande forme et attaque dès la deuxième balle. Il prend rapidement l’avantage mais, alors qu’il pouvait mener avait la possibilité de mener 4-1, Rafa se reprend et remonte au score.
16h15 : après plus d’une heure de jeu, il s’empare du premier set, 7-5. Malgré l’intérêt de la partie (et son enjeu car Djokovic, en cas de victoire, deviendra n°2 mondial!), il est temps que je sorte. Je verrai le résultat au JT du soir.
16h30 : il commence à pleuvoir alors que je me trouve dans les petites ruelles qui conduisent à la cathédrale. Bien que mon guide affirme que c’est la 2e en taille après Séville, elle est beaucoup moins impressionnante que je ne le pensais. C’est peut-être parce que les vaisseaux latéraux sont plus bas de plafond que la nef centrale. Par contre, le Coro est somptueux et surtout ouvert au public (photos interdites, même sans flash, par contre). On peut donc admirer de près les 54 stalles en bois de noyer, chacune sculptée d’une scène de bataille différente. Les accoudoirs sont en forme d’animaux et aucun n’est semblable à son voisin. Même le dessous des sièges (certains sont relevés) est décoré de personnages. La partie supérieure est composée de bas-reliefs d’albâtre et de colonnes de marbre. Le contraste de couleur est saisissant mais très harmonieux.
17h15 : c’est la première fois que je peux visiter un cloitre en Espagne ; d’habitude, ils sont fermés au public. Je constate que le soleil est revenu. Je vais pouvoir reprendre mes pérégrinations dans le dédale des ruelles du vieux Tolède.
18h30 : il repleut et je n’ai pas de parapluie. Le musée de la culture wisigothique est gratuit le samedi après-midi. C’est le bon endroit pour s’abriter.
19h : je ne suis pas très portée sur les bijoux mais les objets damasquinés qui sont la spécialité artisanale de Tolède me plaisent beaucoup. Le plus difficile est de choisir car en regardant de près, on s’aperçoit que chaque modèle est unique!
19h40 : je commence à avoir faim mais je tombe sur un groupe de danse folklorique… puis sur un second. Dans la foule des badauds, j’entends un monsieur expliquer qu’il y a un spectacle un peu plus tard devant la mairie. Ce serait dommage de le rater. Mais il fait frais dans les ruelles encore humides des averses de l’après-midi et le vent qui est maintenant en train de dégager le ciel n’arrange rien. Il est donc impératif de repasser par l’hôtel pour mettre un pull et aussi me munir d’un parapluie (mon optimisme météorologique de tout à l’heure a été douché... au sens propre!).
20h30 : finalement, je vais prendre le temps de grignoter quelque chose avant de repartir. Avec un peu de chance je saurai si Rafa est en finale demain ;-p
21h05 : pas de nouvelles du tennis dans les titres de l’actualité.
21H15 : devant la mairie avec un pull et une écharpe. J’ai raté le groupe de danse tolédan mais il y en a 3 autres à suivre. Il est intéressant de noter les légères différences entre les régions : à Murcia, on agite les poignets pour jouer des castagnettes, alors qu’à Valencia, non. Mais toujours, on danse en couple... sans se toucher sauf de temps en temps du bout des doigts pour une sorte de farandole. Les pas et le rythme me rappellent la Provence. Mais la musique et le chant sont, eux, typiquement espagnols. Chouette soirée!
Ecrit par Kch, le Dimanche 18 Mai 2008, 23:56 dans la rubrique "Blabla españa".