Journal de bord - vendredi 16 mai 2008
6h du matin : la nuit a été courte et j’ai encore mon sac à préparer avant de partir au taf.
7h45 : pas envie d’être à l’usine ce matin et je ne suis pas la seule. Tout le monde a de petits yeux. Certains sont rentrés à 5h et ils ne sont pas frais. J’ai mal à la gorge, moitié à cause du décolleté, moitié à cause de la fumée d’hier soir.
10h30 : encore un pot! Cette fois ce sont les espagnols qui régalent. Il y a plus de monde qu’hier soir et on a droit à des tortillas, de la charcuterie, du calamar frit, du coca et de la bière sans alcool!
13h : ouf, la semaine est terminée. Pour une fois, je pars la première mais j’ai une excuse : je dois récupérer JAnn et Lo qui ont un avion à Madrid en fin d’après-midi. Je laisse le volant de la Leon à ce dernier et je comate sur la banquette arrière.
17h : Madrid, terminal T4. Bisou à JAnn, poignée de main à Lo. Voilà, ils sont partis. Je me sens un peu orpheline. C’est d’eux que j’étais la plus proche. Peut-être à cause de JAnn, peut-être parce que Lo est un "vieux" (il a quelques années de plus que moi) et qu’il est plus adulte que les autres. Et puis on partageait la voiture donc on était souvent ensemble.
19h15 : je suis finalement arrivée à Tolède. Ce ne fut pas sans mal car déjà, il a fallu sortir du labyrinthe autoroutier qui entoure Madrid. Je déteste ça. Cinq voies, des gens qui roulent à fond, des directions annoncées au dernier moment qui obligent à risquer sa vie (et la peinture de la caisse) pour changer de file et ne pas rater sa sortie… bref, avec tout ça, je n’ai pas pris le chemin le plus court et j’ai dû demander ma route dans un relais routier sur une aire de repos. Une fois dans la ville, j’ai encore dû faire appel à un passant pour trouver l’hôtel. Un monsieur d’une cinquantaine d’année, très serviable mais qui parlait un peu vite. Je n’ai pas tout compris à ces explications mais grâce à ses gestes, j’ai pu prendre la bonne direction. Le plus difficile a été de trouver à garer gratuitement. Un "sympathique" couple m’a assuré que c’était OK mais comme il y avait un marquage orange au sol je me suis méfiée. J’ai eu raison car une gendarmette arrivait. Je lui ai demandé combien coutait le stationnement. Elle a été assez cool pour m’indiquer qu’un autre parking, gratuit, se situait de l’autre coté de la route... une fois que j’ai eu pris un ticket :-/
Une fois installée je suis ressortie changer de place comme ça je suis tranquille jusqu’au départ.
21h : grâce à la carte donnée par la réceptionniste (ici, l’office du tourisme ferme à 18h alors que partout ailleurs il y a une pause entre 14 et 17h mais qu’ensuite, c’est ouvert jusqu’à 20h30 ou plus tard), j’ai une meilleure idée de la topologie des lieux. Tolède est dans une boucle du Tage et la route de l’autre coté du fleuve permet d’avoir un panorama de toute la ville. Il faudra que j’y aille. A pied ^^;
7h45 : pas envie d’être à l’usine ce matin et je ne suis pas la seule. Tout le monde a de petits yeux. Certains sont rentrés à 5h et ils ne sont pas frais. J’ai mal à la gorge, moitié à cause du décolleté, moitié à cause de la fumée d’hier soir.
10h30 : encore un pot! Cette fois ce sont les espagnols qui régalent. Il y a plus de monde qu’hier soir et on a droit à des tortillas, de la charcuterie, du calamar frit, du coca et de la bière sans alcool!
13h : ouf, la semaine est terminée. Pour une fois, je pars la première mais j’ai une excuse : je dois récupérer JAnn et Lo qui ont un avion à Madrid en fin d’après-midi. Je laisse le volant de la Leon à ce dernier et je comate sur la banquette arrière.
17h : Madrid, terminal T4. Bisou à JAnn, poignée de main à Lo. Voilà, ils sont partis. Je me sens un peu orpheline. C’est d’eux que j’étais la plus proche. Peut-être à cause de JAnn, peut-être parce que Lo est un "vieux" (il a quelques années de plus que moi) et qu’il est plus adulte que les autres. Et puis on partageait la voiture donc on était souvent ensemble.
19h15 : je suis finalement arrivée à Tolède. Ce ne fut pas sans mal car déjà, il a fallu sortir du labyrinthe autoroutier qui entoure Madrid. Je déteste ça. Cinq voies, des gens qui roulent à fond, des directions annoncées au dernier moment qui obligent à risquer sa vie (et la peinture de la caisse) pour changer de file et ne pas rater sa sortie… bref, avec tout ça, je n’ai pas pris le chemin le plus court et j’ai dû demander ma route dans un relais routier sur une aire de repos. Une fois dans la ville, j’ai encore dû faire appel à un passant pour trouver l’hôtel. Un monsieur d’une cinquantaine d’année, très serviable mais qui parlait un peu vite. Je n’ai pas tout compris à ces explications mais grâce à ses gestes, j’ai pu prendre la bonne direction. Le plus difficile a été de trouver à garer gratuitement. Un "sympathique" couple m’a assuré que c’était OK mais comme il y avait un marquage orange au sol je me suis méfiée. J’ai eu raison car une gendarmette arrivait. Je lui ai demandé combien coutait le stationnement. Elle a été assez cool pour m’indiquer qu’un autre parking, gratuit, se situait de l’autre coté de la route... une fois que j’ai eu pris un ticket :-/
Une fois installée je suis ressortie changer de place comme ça je suis tranquille jusqu’au départ.
21h : grâce à la carte donnée par la réceptionniste (ici, l’office du tourisme ferme à 18h alors que partout ailleurs il y a une pause entre 14 et 17h mais qu’ensuite, c’est ouvert jusqu’à 20h30 ou plus tard), j’ai une meilleure idée de la topologie des lieux. Tolède est dans une boucle du Tage et la route de l’autre coté du fleuve permet d’avoir un panorama de toute la ville. Il faudra que j’y aille. A pied ^^;
Ecrit par Kch, le Dimanche 18 Mai 2008, 23:46 dans la rubrique "Blabla españa".